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Sauve, Éternel ! car les hommes pieux s'en vont, les fidèles disparaissent parmi les fils de l'homme. On se dit des faussetés les uns aux autres, on a sur les lèvres des choses flatteuses, on parle avec un coeur double. Que l'Éternel extermine toutes les lèvres flatteuses, la langue qui discourt avec arrogance, ceux qui disent : nous sommes puissants par notre langue, nous avons nos lèvres avec nous ; qui serait notre maître ? Parce que les malheureux sont opprimés et que les pauvres gémissent, maintenant, dit l'Éternel, je me lève, j'apporte le salut à ceux contre qui l'on souffle. Les paroles de l'Éternel sont des paroles pures, un argent éprouvé sur terre au creuset, et sept fois épuré. Toi, Éternel ! tu les garderas, tu les préserveras de cette race à jamais. Les méchants se promènent de toutes parts, quand la bassesse règne parmi les fils de l'homme.
Béni soit l'Éternel, mon rocher, qui exerce mes mains au combat, mes doigts à la bataille, mon bienfaiteur et ma forteresse, ma haute retraite et mon libérateur, mon bouclier, celui qui est mon refuge, qui m'assujettit mon peuple ! Éternel, qu'est-ce que l'homme, pour que tu le connaisses ? Le fils de l'homme, pour que tu prennes garde à lui ? L'homme est semblable à un souffle, ses jours sont comme l'ombre qui passe. Éternel, abaisse tes cieux, et descends ! Touche les montagnes, et qu'elles soient fumantes ! Fais briller les éclairs, et disperse mes ennemis ! Lance tes flèches, et mets-les en déroute ! Étends tes mains d'en haut ; délivre-moi et sauve-moi des grandes eaux, de la main des fils de l'étranger, dont la bouche profère la fausseté, et dont la droite est une droite mensongère. O Dieu ! je te chanterai un cantique nouveau, je te célébrerai sur le luth à dix cordes. Toi, qui donnes le salut aux rois, qui sauvas du glaive meurtrier David, ton serviteur, délivre-moi et sauve-moi de la main des fils de l'étranger, dont la bouche profère la fausseté, et dont la droite est une droite mensongère !... Nos fils sont comme des plantes Qui croissent dans leur jeunesse ; nos filles comme les colonnes sculptées Qui font l'ornement des palais. Nos greniers sont pleins, regorgeant de tout espèce de provisions ; nos troupeaux se multiplient par milliers, par dix milliers, dans nos campagnes ; nos génisses sont fécondes ; point de désastre, point de captivité, point de cris dans nos rues ! Heureux le peuple pour qui il en est ainsi ! Heureux le peuple dont l'Éternel est le Dieu !
O Dieu, hâte-toi de me délivrer ! Éternel, hâte-toi de me secourir ! Qu'ils soient honteux et confus, ceux qui en veulent à ma vie ! Qu'ils reculent et rougissent, ceux qui désirent ma perte ! Qu'ils retournent en arrière par l'effet de leur honte, ceux qui disent : ah ! ah ! Que tous ceux qui te cherchent Soient dans l'allégresse et se réjouissent en toi ! Que ceux qui aiment ton salut Disent sans cesse : exalté soit Dieu ! Moi, je suis pauvre et indigent : o Dieu, hâte-toi en ma faveur ! Tu es mon aide et mon libérateur : Éternel, ne tarde pas !
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